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Manoeuvrabilité au moteur sur voilier    
21 messages du 16/10/2002 au 29/10/2002    

 1 - De Christian L le mercredi 16 octobre 2002 à 02:44 
 
Bonsoir à tous

Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre les plus
grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de
port.
Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV).
L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a remplacé l'hélice
bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant un couple plus important, j'ai
toujours les mêmes difficultés.
En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il est possible
de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se passe comme si le moteur
perdait de sa puissance et au bout de 3 mois, reculer devient impossible.
Les bateaux voisins, baignant dans les mêmes eaux donc avec une "propreté" de
carène et d'hélice évoluant de façon comparable avec le temps, continuent eux de
manoeuvrer normalement.
Le mécanicien qui entretient le moteur n'a rien décelé d'anormal sur le
moteur(nombre de tours à vide, en charge, en avant en arrière).
Est ce que la carène (forme) de l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre en
marche arrière et que l'apparition de salissures rend plus apparente encore
cette anomalie ?
Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur l'hélice suffit à
faire perdre de la puissance au moteur ?
Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ?

Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement lebateau à
tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut manoeuvrer !

Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce problème et
l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à  proposer, je suis preneur.

D'avance merci
--
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 2 - De jean.pierre-kessedjian le mercredi 16 octobre 2002 à 09:08 
 
"Christian L" <c_goat@club-internet.fr> a écrit dans le message de news:
20021016-14422-59456@foorum.com...
>
> Bonsoir à tous
>
> Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre
les plus
> grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la
place de
> port.
> Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV).
> L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a remplacé
l'hélice
> bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant un couple plus important,
j'ai
> toujours les mêmes difficultés.
> En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il est
possible
> de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se passe comme si le
moteur
> perdait de sa puissance et au bout de 3 mois, reculer devient impossible.
> Les bateaux voisins, baignant dans les mêmes eaux donc avec une "propreté"
de
> carène et d'hélice évoluant de façon comparable avec le temps, continuent
eux de
> manoeuvrer normalement.
> Le mécanicien qui entretient le moteur n'a rien décelé d'anormal sur le
> moteur(nombre de tours à vide, en charge, en avant en arrière).
> Est ce que la carène (forme) de l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre
en
> marche arrière et que l'apparition de salissures rend plus apparente
encore
> cette anomalie ?
> Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur l'hélice suffit
à
> faire perdre de la puissance au moteur ?
> Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ?
>
> Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement lebateau à
> tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut manoeuvrer !
>
> Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce
problème et
> l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à  proposer, je suis
preneur.
>
> D'avance merci


Est-ce que ce n'est pas justement le fait d'avoir mis une tripale à la place
d'une bipale qui rend la manoeuvre en marche arrière encore plus difficile .

A ma connaissance d'origine les Attalia étaient tous livrés avec un 2 GM et
la manoeuvre n'était pas plus compliquée qu'avec un autre voilier.

Avant d'embrayer le moteur en marche arrière il est bon de donner déjà un
peu d'erre au bateau par exemple à l'aide d'une aussière passée en double .
Et ensuite embrayer et accélérer le plus lentement possible.
 
 3 - De herve guillou le mercredi 16 octobre 2002 à 09:36 
 
Christian L <c_goat@club-internet.fr> wrote:

> Bonsoir à tous
>
> Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre de
> grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de
> port.
> Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV).
> L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a remplacé
> l'hélice bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant un couple plus
>  important, j'ai toujours les mêmes difficultés.
..../...
>
> Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement lebateau à
> tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut manoeuvrer !
>
> Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce problème
> et l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à  proposer, je suis preneur
>
> D'avance merci

hello,

à tout hasard : ne manoeuvrerais-tu pas trop lentement ?
il est indispensable d'avoir un minimum de vitesse, pour que le safran
ait une action correcte.

a+.     herve.
 
 4 - De joel le mercredi 16 octobre 2002 à 10:29 
 
trois pales ne veut pas dire plus efficace
si le moteur est bon c'est l'hélice qui va pas
une bonne deux pales est mieux a mon avis (et fait moins de trainée sous voiles)
souvent le bateau manoeuvre mieux si on "fouette" en AR (un  coup de gaz bref
mais puissant) puis on debraye et evolue  sur l'erre ça limite le deport sur un
bord
sinon il faut culer sur une aussière frappée à l'extreme AR du bateau , portée
en double en avant sur le quai, marche AR et barre du côte ou on veut aller
prevoir un equipier muni de pare bat volant
quand l'avant est  suffisamment écarté on repart en AV, l'aussière passée en
double est récupérée à toute vitesse sous peine de bout dans l'hélice
joel


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 5 - De Alain le lundi 21 octobre 2002 à 10:53 
 
Salut,

   Je crois que l'on a tous la même manie, on ne prend pas assez de vitesse.Un
bateau est manoeuvrant lorsqu'il a suffisament d'erre.A savoir aussi que
l'hélice a un sens et qu'elle a toujours tendance a tirer dans le même sens a
droite.
   Dans un endroit dégagé essais de faire des manoeuvres et constate les
réactions du bateau. Les sallisures sur la coque effectivement restreignent les
manoeuvres.
     Petit avis est donné, je crois que tu as beaucoup de réponses , bonne
manoeuvre.
  Salut
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 6 - De Bol le mercredi 16 octobre 2002 à 10:37 
 
Salut

> Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques)
> sur l'hélice suffit à faire perdre de la puissance au moteur ?

Je ne suis pas spécialiste mais certainement oui, ça a été souvent
évoqué ici, et selon mon expérience dès que ma bipale est sale je perds
beaucoup.

[réflexion toute fraiche]
Il y a des manoeuvres que l'on fait sans trop réfléchir, et puis un jour
il y a un détail qui fait tilt. Avant hier je suis aller me balader, je
quitte le cat-way comme d'habitude marche arrière lente, barre droite
puis à fond pour aller vers babord. Sauf que cette fois pour je ne sais
quelle raison, je mets au point mort avant de tirer la barre - sensation
étrange, je vire beaucoup plus vite que d'habitude. Pour voir si ce
n'est pas le fait du hasard, j'embraye AR et reprendre le rayon de
giration habituel - beaucoup plus grand.

Je n'en ferai pas une conclusion hative et définitive, mais c'est une
expérience à refaire, peut-être suffit-il pour contrer le pas d'hélice,
non pas d'aller plus vite, mais simplement de mettre au point mort au
moment de virer (il faut bien sur avoir un peu d'erre)

A+
Bol
http://frbateaux.net/
 
 7 - De Alain Fosse le mercredi 16 octobre 2002 à 11:19 
 
dans l'article de News, Christian L à c_goat@club-internet.fr a écrit le
16/10/02 2:44 :
> Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre les
> plus
> grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de
> port.

Bonjour,

Il est évident, qu'au départ, un voilier est plutôt fait pour aller en
marche avant plutôt que dans l'autre sens et je suis toujours stupéfait de
voir certains plaisanciers (les Italiens sont champions pour cela) se
présenter presque à l'entrée de la marina en marche arrière, se retourner
face à la poupe (la popa) et manoeuvrer leur "volant" comme celui d'un
camion pour se garer (je ne trouve pas d'autre mot), quatre pontons plus
loin, cul à quai.

C'est une constante, la plupart des voiliers sont bordiers, il faut bien
faire avec. La première des choses, c'est de manoeuvrer avec assez de
vitesse pour que le safran réagisse et puisse lutter contre la pertubation
que crée l'hélice. Une solution, mais cela dépend des bateaux, peut
consister à donner suffisamment de gaz en arrière puis à remettre
l'inverseur au point mort pour que le safran puisse agir sans être trop
perturbé (le cas échéant, cela évite aussi d'aller se fourrer l'hélice dans
les s... qui flottent parfois entre deux eaux. Evidemment, cette solution
n'est valable que par temps calme, sans trop de courant, juste pour se
dégager d'un ponton. Et dans ce cas de figure, on peut toujours s'aider d'un
bout judicieusement placé et passé en double.

Avec certains bateaux, le mien, par exemple, on obtient de bons résultats en
faisant un p'tit coup de marche avant, un p'tit coup de marche arrière, un
p'tit coup de marche avant... Avec cette méthode, j'arrive à tourner presque
sur place, comme si j'avais un propulseur d'étrave. En fait, chaque unité
est un cas d'espèce et ce n'est qu'en s'entraînant, dans un mouillage désert
(ça existe encore, ça?), sur un sur un plan d'eau ou dans un avant-port que
l'on trouve la "manière".

Autre point important, la propreté de l'hélice. Il est certain qu'une hélice
sale perd de son rendement. A ce jour je n'ai pas encore trouvé
l'anti-fouling spécial hélice qui "tienne" correctement (si quelqu'un en
connaît un..) J'aime mieux "plonger" trois à quatre fois dans la saison pour
aller la gratouiller et qu'elle reste toujours à peu-près propre (attention
à ne pas ce cogner la tête sur la voute du bateau en revenant à la surface à
la recherche de la goulée d'oxygène salvatrice).

Voilà, je pense que les spécialistes vont nous parler des filets d'eau,
d'hydrodynamisme et nous donner de savantes explications, qui seront
d'ailleurs les bienvenues, mais il me semble qu'il ne s'agit pas là d'un
problème spécifique à l'Atalia; à moins que celui-ce ne soit
particulièrement bordier, mais plutôt d'un problème de prise en main et,
surtout, de propreté de l'hélice.

Cordialement.
Alain Fosse
Rêvez avec les images de news://news.zoo-logique.org/images.bateaux-nautisme
 
 8 - De Hubert, de Cherbourg le mercredi 16 octobre 2002 à 14:25 
 
bonjour
"Alain Fosse" a écrit
> voir certains plaisanciers (les Italiens sont champions pour cela) se
> présenter presque à l'entrée de la marina en marche arrière, se retourner
> face à la poupe (la popa) et manoeuvrer leur "volant" comme celui d'un
> camion pour se garer (je ne trouve pas d'autre mot), quatre pontons plus
> loin, cul à quai.

je dois avoir des origines italiennes, car c'est comme cela que je fais,
surtout quand je suis tout seul.
Et pour ne pas encombrer inutilement entre les pontons pour faire un demi
tour et me mettre en marche arrière (il faut trois marche avant/marche
arrière pour faire demi tour en si peu de place)
je me met en marche arrière avant le bout des pontons et je vais ainsi
jusqu'à ma place que "j'enquille" directement
ensuite le large tableau arrière contre le ponton avec deux pare bat' et en
arrière doucement j'ai tout mon temps pour récupérer les amarres avec la
gaffe, sans descendre.
Mais je ne sais pas me mettre en marche arrière au delà d'un gros cinq, le
vent arrive toujours à prendre un côté ou l'autre de l'étrave et me fait
abattre, et encore à force cinq ce n'est pas toujours du premier coup !
Mais quand on recule à trois noeuds, attention à la casse si on lache la
barre!


--
Hubert, de Cherbourg.
hubert.perio@lapeste.net/remplacer_lapeste_par_laposte
 
 9 - De Jean-Pierre RAVEU le dimanche 20 octobre 2002 à 19:31 
 
il me semble que les fifty quille longue équipés d'helice tripale ont
énormément de pb en marche arrière.Le seul conseil que je peux donner est le
suivant.Une hélice  tripale associée à un couple trop fort aura toujours
tendance à faire virer la poupe à droite ou à gauche en fonction de la
nature de son pas.
Il ne reste plus qu'à exploiter la puissance du moteur par impulsion
successive "à bas régime" pour maintenir son ère, sauf pour le stopper bien
sûr et surtout garder à l"esprit qu'on dirige  le bateaux en mouvement
moteur au point mort.En accélérant en marche arrière le bateaux tire à
tribord et on redresse au point mort en tenant compte du vent de travers on
arrive à accoster  progressivement à babord à portée de gaffe ou ou d'un
bout.
La perte de puissance ne peut venir que de l'hélice...!
"Hubert, de Cherbourg" <hubert.perio@lapeste.net-remplacerlapesteparlaposte>
a écrit dans le message de news: 3dad5a3a$0$257$626a54ce@news.free.fr...
> bonjour
> "Alain Fosse" a écrit
> > voir certains plaisanciers (les Italiens sont champions pour cela) se
> > présenter presque à l'entrée de la marina en marche arrière, se
retourner
> > face à la poupe (la popa) et manoeuvrer leur "volant" comme celui d'un
> > camion pour se garer (je ne trouve pas d'autre mot), quatre pontons plus
> > loin, cul à quai.
>
> je dois avoir des origines italiennes, car c'est comme cela que je fais,
> surtout quand je suis tout seul.
> Et pour ne pas encombrer inutilement entre les pontons pour faire un demi
> tour et me mettre en marche arrière (il faut trois marche avant/marche
> arrière pour faire demi tour en si peu de place)
> je me met en marche arrière avant le bout des pontons et je vais ainsi
> jusqu'à ma place que "j'enquille" directement
> ensuite le large tableau arrière contre le ponton avec deux pare bat' et
en
> arrière doucement j'ai tout mon temps pour récupérer les amarres avec la
> gaffe, sans descendre.
> Mais je ne sais pas me mettre en marche arrière au delà d'un gros cinq, le
> vent arrive toujours à prendre un côté ou l'autre de l'étrave et me fait
> abattre, et encore à force cinq ce n'est pas toujours du premier coup !
> Mais quand on recule à trois noeuds, attention à la casse si on lache la
> barre!
>
>
> --
> Hubert, de Cherbourg.
> hubert.perio@lapeste.net/remplacer_lapeste_par_laposte
>
>
>
>
>
 
 10 - De Robert Curbet le vendredi 18 octobre 2002 à 23:42 
 
Salut Alain, salut à tous
Ah! les problèmes de marche arrière!
Moi aussi j'ai connu pendant longtemps.
Mais depuis cette année, maintenant tout est résolu: ma Chryseis a un moteur
Sail Drive
et là, plus de problème. (ou presque).
L'hélice étant plus proche du centre du bateau, la force engendrée par le
couple de rotation est beaucoup moins forte, et du coup le bateau recule en
ligne droite.
Par contre, on n'a plus la possibilité du "coup de fouet", puisque l'hélice
est loin du safran.
On perd donc en "rayon de braquage " en marche avant.
On perd aussi la possibilité de casser rapidement l'ère en rapprochant le
cul du quai, pour prendre une petite place entre deux bateaux le long d'un
quai.
Par contre, pour les arrivées en méditerranée, qui se font quasiment
toujours cul au quai, c'est l'idéal.


"Alain Fosse" <alainfosse@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
B9D2FBBB.BAEC%alainfosse@wanadoo.fr...
> dans l'article de News, Christian L à c_goat@club-internet.fr a écrit le
> 16/10/02 2:44 :
> > Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre
les
> > plus
> > grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la
place de
> > port.
>
> Bonjour,
>
> Il est évident, qu'au départ, un voilier est plutôt fait pour aller en
> marche avant plutôt que dans l'autre sens et je suis toujours stupéfait de
> voir certains plaisanciers (les Italiens sont champions pour cela) se
> présenter presque à l'entrée de la marina en marche arrière, se retourner
> face à la poupe (la popa) et manoeuvrer leur "volant" comme celui d'un
> camion pour se garer (je ne trouve pas d'autre mot), quatre pontons plus
> loin, cul à quai.
>
> C'est une constante, la plupart des voiliers sont bordiers, il faut bien
> faire avec. La première des choses, c'est de manoeuvrer avec assez de
> vitesse pour que le safran réagisse et puisse lutter contre la pertubation
> que crée l'hélice. Une solution, mais cela dépend des bateaux, peut
> consister à donner suffisamment de gaz en arrière puis à remettre
> l'inverseur au point mort pour que le safran puisse agir sans être trop
> perturbé (le cas échéant, cela évite aussi d'aller se fourrer l'hélice
dans
> les s... qui flottent parfois entre deux eaux. Evidemment, cette solution
> n'est valable que par temps calme, sans trop de courant, juste pour se
> dégager d'un ponton. Et dans ce cas de figure, on peut toujours s'aider
d'un
> bout judicieusement placé et passé en double.
>
> Avec certains bateaux, le mien, par exemple, on obtient de bons résultats
en
> faisant un p'tit coup de marche avant, un p'tit coup de marche arrière, un
> p'tit coup de marche avant... Avec cette méthode, j'arrive à tourner
presque
> sur place, comme si j'avais un propulseur d'étrave. En fait, chaque unité
> est un cas d'espèce et ce n'est qu'en s'entraînant, dans un mouillage
désert
> (ça existe encore, ça?), sur un sur un plan d'eau ou dans un avant-port
que
> l'on trouve la "manière".
>
> Autre point important, la propreté de l'hélice. Il est certain qu'une
hélice
> sale perd de son rendement. A ce jour je n'ai pas encore trouvé
> l'anti-fouling spécial hélice qui "tienne" correctement (si quelqu'un en
> connaît un..) J'aime mieux "plonger" trois à quatre fois dans la saison
pour
> aller la gratouiller et qu'elle reste toujours à peu-près propre
(attention
> à ne pas ce cogner la tête sur la voute du bateau en revenant à la surface
à
> la recherche de la goulée d'oxygène salvatrice).
>
> Voilà, je pense que les spécialistes vont nous parler des filets d'eau,
> d'hydrodynamisme et nous donner de savantes explications, qui seront
> d'ailleurs les bienvenues, mais il me semble qu'il ne s'agit pas là d'un
> problème spécifique à l'Atalia; à moins que celui-ce ne soit
> particulièrement bordier, mais plutôt d'un problème de prise en main et,
> surtout, de propreté de l'hélice.
>
> Cordialement.
> Alain Fosse
> Rêvez avec les images de
news://news.zoo-logique.org/images.bateaux-nautisme
>
>
>
>
>
 
 11 - De Alain Fosse le samedi 19 octobre 2002 à 11:24 
 
dans l'article de News, Robert Curbet à rcurbet@wanadoo.fr a écrit le
18/10/02 23:42 :

> Par contre, pour les arrivées en méditerranée, qui se font quasiment
> toujours cul au quai, c'est l'idéal.

Bonjour Robert, Bonjour à tous

Bien rentré ? Au retour, je suis repassé par Fréjus et en ai profité pour
aller dire un petit bonjour à Chryseis. Rassure-toi, tout va bien !

je ne comprends pas cette manie méditerranéenne de se mettre cul à quai.

1) La manoeuvre est plus aléatoire, surtout en équipage réduit et il me
semble infiniment plus facile de repartir en marche arrière que d'y arriver.

2) Dans mon cas, avec mon annexe suspendue à ses bossoirs (elle y est
parfaitement calée et, même en cas de fort coup de vent, ne bouge pas d'un
iota), cela complique encore la chose.

3) Avec nos bateaux modernes, et dans certains ports mal pavés -comme
Estartit, n'est-ce pas Nominoë ?- we risk énormément. Bonjour le tableau
arrière, voire le safran.

4) Il n'y a pas besoin de trimballer de passerelle, une simple échelle de
coupée que l'on accroche à l'avant et l'on peut -et dans tous les cas-
facilement monter à bord, quelle que soit la hauteur ou la "basseur" (1) du
quai.

5) Enfin - et surtout- on n'est pas dans le même sens que les voisins de
palier, donc peinard dans son cockpit et on n'a pas l'impression d'être au
zoo de Vincennes (ce qui est appréciable pour moi, qui habite quasiment en
face toute l'année) puisque les toutous qui passent et rapaces sur les quais
et les pontons ne plongent pas directement dans votre salle à manger, voire
votre chambre à coucher.

Objection, Votre Honneur : en vous amarrant nez à quai, vous vous retrouvez
de travers puisque la pendille est frappée sur un des taquets arrière, loin
de l'axe du bateau. Que nenni, mon Prince ! La pendille se termine bien
souvent par un chaîne. En descendant surla jupe arrière il est tout à fait
facile d'y passer un bout et de l'amarrer sur les deux taquets. Si ce n'est
pas le cas, il suffit de frapper un bout sur la pendille (trois au quatre
demi-clés à capeler et ça tient) pour faire une sorte de patte d'oie et le
bateau tire parfaitement dans l'axe, ne gène personne et le maître de port
n'a plus rien à dire.

Je ne me mets cul à quai qu'à Gruissan, et encore pour l'hiver, à cause des
forts et redoutables coups de sud ou, bien évidemment, lorsqu'il faut, en
l'absence de bouée ou de  pendille, mouiller à l'avant.

Of course, pour décaniller de son poste, il est vivement conseillé
d'attendre que la pendille ait parfaitement coulé, sinon il n'y a plus
d'hélice, hélas, comme le disait Bourvil, dans "La grande vadrouille", car
le précieux instrument se trouve aux premières loges.

Voilà, je n'aurais sans doute pas dû faire ce plaidoyer pro domo pour
"l'amarrage nez à quai" car si tout le monde se met à en faire autant, fini
la tranquillité (toute relative) au port.

-----
(1) Il ne faut pas craindre, de temps en temps,quelques hardis néologismes.
De toutes façons, la langue française en a déjà tellement vu...
------
Cordialement.
Alain Fosse
N'oubliez pas les FAQs du forum :  http://frbateaux.net
 
 12 - De "Nominoë,_de_Nantes" le dimanche 20 octobre 2002 à 16:52 
 
Hello

Alain Fosse wrote:
> 3) Avec nos bateaux modernes, et dans certains ports mal pavés -comme
> Estartit, n'est-ce pas Nominoë ?- we risk énormément. Bonjour le tableau
> arrière, voire le safran.

et le gars "mais si allez y il y a de l'eau et hop à 4m du bord le
safran touche. "allez y, reculez encore" "non il n'y a pas assez d'eau"
"mais je vous dis que si" "non!" ah, têtu le gars du port et aveugle par
la même occasion.

Par contre pour le cul à quai, à Barcelone une équipière m'a réclamé
qu'on se mette cul à quai car elle trouvait trop difficile de débarquer
par la proue. résultat je me suis mis cul à quai et ele la fortement
regretté car à cause de la jupe on était encore plus loin du quai ;-)
mais là elle n'a plus osé râler. PS : je précise directement avant der
me faire traiter de macho ou mysogine : ça aurait très bien pu être un
équipier et non une équipîère qui râle, ça m'est aussi arrivé :-))


Nominoë, bien crevé de sa nav' de ce we.

--
http://www.relais-voile.net
 
 13 - De jcvh le lundi 21 octobre 2002 à 10:29 
 
Hello !

Faut pas avoir peur de te faire traiter de macho, elles ont voulu l'égalité
elles doivent assumer !

Ouvrir la portière de la voiture, avancer la chaise au resto, le payer, bref
fini les petits privilèges que les affreux machos leurs prodiguaient

En plus tu ne dois pas t'occuper de ce quelles disent, mieux vaut attendre
quelles changent d'avis ce qui ne saurait tarder ! (voir l'amis Sacha)

Pour le cul à quai, par principe jamais ! Sauf circonstances
exceptionnelles, j'y suis pour l'instant ;-))) pour six mois au moins snifff
(grooosse boulot sur le batô), mais il y a des ducs d'albe à l'avant et pas
de curieux a l'arrière (juste quelques bavards sympas)!

J-C (le macho de service)

Les gens intelligents sont ceux qui changent d'avis avant les autres.
André Frossard
Serait-ce votre excuse mesdames ? :-))

"Nominoë, de Nantes" <ynpiriou.pasdespam@wanadoo.fr> a écrit dans le message
de news: 3db2c2c1$0$6102$626a54ce@news.free.fr...

> Hello
>
> Alain Fosse wrote:
> > 3) Avec nos bateaux modernes, et dans certains ports mal pavés -comme
> > Estartit, n'est-ce pas Nominoë ?- we risk énormément. Bonjour le tableau
> > arrière, voire le safran.
>
> et le gars "mais si allez y il y a de l'eau et hop à 4m du bord le
> safran touche. "allez y, reculez encore" "non il n'y a pas assez d'eau"
> "mais je vous dis que si" "non!" ah, têtu le gars du port et aveugle par
> la même occasion.
>
> Par contre pour le cul à quai, à Barcelone une équipière m'a réclamé
> qu'on se mette cul à quai car elle trouvait trop difficile de débarquer
> par la proue. résultat je me suis mis cul à quai et ele la fortement
> regretté car à cause de la jupe on était encore plus loin du quai ;-)
> mais là elle n'a plus osé râler. PS : je précise directement avant der
> me faire traiter de macho ou mysogine : ça aurait très bien pu être un
> équipier et non une équipîère qui râle, ça m'est aussi arrivé :-))
>
>
> Nominoë, bien crevé de sa nav' de ce we.
>
> --
> http://www.relais-voile.net
>
 
 14 - De Robert le lundi 21 octobre 2002 à 10:45 
 
"Nominoë, de Nantes" <ynpiriou.pasdespam@wanadoo.fr> a écrit dans le message
news: 3db2c2c1$0$6102$626a54ce@news.free.fr...
>PS : je précise directement avant der me faire traiter de macho ou mysogine
: ça aurait très bien pu être un
> équipier et non une équipîère qui râle>

Ca aurait pu être un équipier... mais bien sur c'était une équipière...
ben tien...

Robert le Troll
 
 15 - De Olivier ROSTAIN le mercredi 16 octobre 2002 à 11:25 
 
"Christian L" <c_goat@club-internet.fr> a écrit dans le message news:
20021016-14422-59456@foorum.com...
>
> Bonsoir à tous
>
> Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre
les plus
> grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la
place de
> port.
> Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV).


Bonjour
J'ai remplacé ma bi par une tri. Il y a effectivement une trainée un peu
plus importante sous voile mais en croisiere ce n'est pas grave . Par contre
une puissance bien agréable dans une entrée, étroite, de port par gros temps
et une plus grande manouevrabilité sous reserve de jouer avec l'effet de
couple en "fouettant". Les coquillages peuvent reduire à 0 le fonctionnement
d'une hélice  en particulier s' ils collent au niveau de la bordure de la
pale. Cela se sent plus dans un sens que dans l'autre et je n'ai pas encore
trouvé l'antifouling qui tient une saison sur cet engin et je suis obligé
d'hiverner 6mois..donc plongée au printemps pratiquement obligatoire pour
nettoyer. Lideal serait de passer l'antfouling juste avant l'hivernage mais
au prix des sorties d'eau en Mediterrannée.....
 
 16 - De Denis ROUX le mercredi 16 octobre 2002 à 16:11 
 
Christian L wrote:
:: Bonsoir à tous
::
:: Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je
:: rencontre les plus grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au
:: moteur pour quitter la place de port.
:: Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV).
:: L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a
:: remplacé l'hélice bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant
:: un couple plus important, j'ai toujours les mêmes difficultés.
:: En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il
:: est possible de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se
:: passe comme si le moteur perdait de sa puissance et au bout de 3
:: mois, reculer devient impossible. Les bateaux voisins, baignant dans
:: les mêmes eaux donc avec une "propreté" de carène et d'hélice
:: évoluant de façon comparable avec le temps, continuent eux de
:: manoeuvrer normalement. Le mécanicien qui entretient le moteur n'a
:: rien décelé d'anormal sur le moteur(nombre de tours à vide, en
:: charge, en avant en arrière). Est ce que la carène (forme) de
:: l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre en marche arrière et que
:: l'apparition de salissures rend plus apparente encore cette anomalie
:: ? Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur
:: l'hélice suffit à faire perdre de la puissance au moteur ?
:: Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ?
::
:: Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement
:: lebateau à tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut
:: manoeuvrer !
::
:: Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce
:: problème et l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à
:: proposer, je suis preneur.
::
:: D'avance merci
:: --
:: Ce message a été posté via la plateforme Web club-Internet.fr
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bonjour :)

il y a qq années, j'avais décidé d'investir dans une hélice repliable.
j'ai donc contacté mon revendeur lui demandant de m'en
trouver une adaptable sur le yanmar 2GM de mon sun light 30.
Après soi disant des calculs savants, on me livre une hélice
que je m'empresse d'installer.
résultat : 4.5 noeuds en régime normal au lieu de 6.3 avec
l'hélice fixe, et des marches arrière quasiment impossibles.
Le revendeur me l'a alors échangée contre une autre marque
et plus de problèmes. On est alors en droit de se demander
si le logiciel de calculs de france hélices est réellement
performant.
Ah oui, j'oubliais, cette meme hélice a été vendue à un ami
qui a un jouet 920, et il en est ravi ! comme quoi, une
hélice mal adaptée peut avoir des performances catastrophiques.

voilà, @++
 
 17 - De Jacques MAILLOT le mercredi 16 octobre 2002 à 18:43 
 
Bonsoir
J'ai aussi changé l'hélice bipale, contre une tripale sur mon Moody.
Ayant le même problème , je mets le moteur en arrière maxi quelques
secondes, puis au point mort.
J'ai ainsi suffisamment d'erre pour contrer le pas de l'hélice.
Cordialement.
"Christian L" <c_goat@club-internet.fr> a écrit dans le message de news:
20021016-14422-59456@foorum.com...
>
> Bonsoir à tous
>
> Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre
les plus
> grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la
place de
> port.
> Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV).
> L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a remplacé
l'hélice
> bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant un couple plus important,
j'ai
> toujours les mêmes difficultés.
> En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il est
possible
> de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se passe comme si le
moteur
> perdait de sa puissance et au bout de 3 mois, reculer devient impossible.
> Les bateaux voisins, baignant dans les mêmes eaux donc avec une "propreté"
de
> carène et d'hélice évoluant de façon comparable avec le temps, continuent
eux de
> manoeuvrer normalement.
> Le mécanicien qui entretient le moteur n'a rien décelé d'anormal sur le
> moteur(nombre de tours à vide, en charge, en avant en arrière).
> Est ce que la carène (forme) de l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre
en
> marche arrière et que l'apparition de salissures rend plus apparente
encore
> cette anomalie ?
> Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur l'hélice suffit
à
> faire perdre de la puissance au moteur ?
> Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ?
>
> Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement lebateau à
> tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut manoeuvrer !
>
> Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce
problème et
> l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à  proposer, je suis
preneur.
>
> D'avance merci
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 18 - De Roland le jeudi 17 octobre 2002 à 05:24 
 
Bonjour,
J'ai les mêmes problèmes avec mon Atlante, les marches arrières, il n'aime
pas, mais alors pas du tout.
J'ai changé l'hélice (et le moteur)  en juillet, j'ai mis une tripales de
chez France hélice à la place de ma bipales.
Résultats : je peux enfin battre en arrière mais en donnant un bon coup de
gaz arrière toute très court puis arrière lente, barre bien droite, et sa
marche (arrière bien sûr...). Par contre, en régate ce n'est pas le
top...(En marche avant là).
Pour la puissance du moteur, mon hélice sale (méditerrannée oblige) me fit
perdre 500 Tr (sur 3500), c'est normal, le moteur force plus donc tourne
moins vite à puissance égale et  régulateur à fond (comme en voiture en
montée, (ou en bateau en montée mais là c'est plus difficile :o)  )).
Chez France Hélice, ils m'ont déconseillé fortement l'antifouling sui cache
l'électro-corrosion de l'hélice (changement des caractéristiques du
métal)... Faut plonger!
Personnellement, j'enduis l'hélice de graisse marine, il faut en mettre pas
mal.
Ca fonctionne mieux que l'antifouling je trouve, mon bateau est à flot toute
l'année sur l'étang de Berre qui détient le pavillon bleu des algues en tout
genre et des cultures de moules spéciales carrènes.
Je le fais depuis 2 ans, une fois l'an au carrénage (octobre, novembre), et
je ne plonge qu'une fois (mai, juin) pour préparer l'été.
Pour cette année, j'ai posé l'hélice sous l'eau, donc mon graissage n'était
pas bon (sauf sur mes doigt), ce qui peut expliquer une perte de puissance
aussi rapide (3 mois), vas faloir que je carrène vite!
Il y en a qui mettent d'autres produits avec la graisse mais je ne sais pas
ce que c'est, si quequ'un à la réponse (pas des antibiotiques, c'est
interdit ;-)).

bon courrage, prépare ton masque et ton tuba.

Roland
 
 19 - De Jean-Claude le lundi 21 octobre 2002 à 14:04 
 
On Thu, 17 Oct 2002 05:24:46 +0200, "Roland" <r.gelibert@wanadoo.fr>
wrote:

>Bonjour,
>J'ai les mêmes problèmes avec mon Atlante, les marches arrières, il n'aime
>pas, mais alors pas du tout.
>J'ai changé l'hélice (et le moteur)  en juillet, j'ai mis une tripales de
>chez France hélice à la place de ma bipales.
>Résultats : je peux enfin battre en arrière mais en donnant un bon coup de
>gaz arrière toute très court puis arrière lente, barre bien droite, et sa
>marche (arrière bien sûr...). Par contre, en régate ce n'est pas le
>top...(En marche avant là).
Il y a aussi la solution des hélices tripales à mise en drapeau comme
Max-Prop ou Variprop assez chères mais paraît-il très éfficaces...
Moi j'hésite un peu et j'attends de recueillir divers témoignages
(tous favorables jusque là...)!
 
 20 - De patrick.lecallier le mardi 29 octobre 2002 à 18:07 
 
La Maxprop s'il n'y avais pas la question du prix équiperait 98 % des
bateaux sauf peut-être pour la régate Peu ou pas de différence de traînée
mais surface mouillée supérieur aux hélices bipales repliable.
A+
"Jean-Claude" <jeanclaude17@free.fr> a écrit dans le message news:
3db3d011.3075670@news.free.fr...
> On Thu, 17 Oct 2002 05:24:46 +0200, "Roland" <r.gelibert@wanadoo.fr>
> wrote:
>
> >Bonjour,
> >J'ai les mêmes problèmes avec mon Atlante, les marches arrières, il
n'aime
> >pas, mais alors pas du tout.
> >J'ai changé l'hélice (et le moteur)  en juillet, j'ai mis une tripales de
> >chez France hélice à la place de ma bipales.
> >Résultats : je peux enfin battre en arrière mais en donnant un bon coup
de
> >gaz arrière toute très court puis arrière lente, barre bien droite, et sa
> >marche (arrière bien sûr...). Par contre, en régate ce n'est pas le
> >top...(En marche avant là).
> Il y a aussi la solution des hélices tripales à mise en drapeau comme
> Max-Prop ou Variprop assez chères mais paraît-il très éfficaces...
> Moi j'hésite un peu et j'attends de recueillir divers témoignages
> (tous favorables jusque là...)!
 
 21 - De afc le jeudi 17 octobre 2002 à 09:11 
 
Dans les parkings à bateaux que sont devenues nos marinas, il n'est pas
honteux de sortir la gaffe. Et plus on l'a longue, plus c'est facile.

On peut même donner l'impulsion suffisante pour s'extraire complètement et
revenir à la barre pour battre en arrière si nécessaire.

Même avec mon 10 tonnes et en solo çà fonctionne.

Sauf évidemment s'il y a trop de vent comme le dit Hubert,

André
 

frbateaux.net - Horaire marée - Dernière mise à jour le 10 juillet 2012 - faq@frbateaux.net