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1 - De Christian L le mercredi 16 octobre 2002 à 02:44 | |||||
Bonsoir à tous Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre les plus grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de port. Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV). L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a remplacé l'hélice bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant un couple plus important, j'ai toujours les mêmes difficultés. En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il est possible de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se passe comme si le moteur perdait de sa puissance et au bout de 3 mois, reculer devient impossible. Les bateaux voisins, baignant dans les mêmes eaux donc avec une "propreté" de carène et d'hélice évoluant de façon comparable avec le temps, continuent eux de manoeuvrer normalement. Le mécanicien qui entretient le moteur n'a rien décelé d'anormal sur le moteur(nombre de tours à vide, en charge, en avant en arrière). Est ce que la carène (forme) de l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre en marche arrière et que l'apparition de salissures rend plus apparente encore cette anomalie ? Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur l'hélice suffit à faire perdre de la puissance au moteur ? Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ? Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement lebateau à tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut manoeuvrer ! Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce problème et l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à proposer, je suis preneur. D'avance merci -- Ce message a été posté via la plateforme Web club-Internet.fr This message has been posted by the Web platform club-Internet.fr http://forums.club-internet.fr/ |
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4 - De joel le mercredi 16 octobre 2002 à 10:29 | |||||
trois pales ne veut pas dire plus efficace si le moteur est bon c'est l'hélice qui va pas une bonne deux pales est mieux a mon avis (et fait moins de trainée sous voiles) souvent le bateau manoeuvre mieux si on "fouette" en AR (un coup de gaz bref mais puissant) puis on debraye et evolue sur l'erre ça limite le deport sur un bord sinon il faut culer sur une aussière frappée à l'extreme AR du bateau , portée en double en avant sur le quai, marche AR et barre du côte ou on veut aller prevoir un equipier muni de pare bat volant quand l'avant est suffisamment écarté on repart en AV, l'aussière passée en double est récupérée à toute vitesse sous peine de bout dans l'hélice joel -- Utilisez notre serveur de news 'news.foorum.com' depuis n'importe ou. Plus d'info sur : http://nnrpinfo.go.foorum.fr/ |
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5 - De Alain le lundi 21 octobre 2002 à 10:53 | |||||
Salut, Je crois que l'on a tous la même manie, on ne prend pas assez de vitesse.Un bateau est manoeuvrant lorsqu'il a suffisament d'erre.A savoir aussi que l'hélice a un sens et qu'elle a toujours tendance a tirer dans le même sens a droite. Dans un endroit dégagé essais de faire des manoeuvres et constate les réactions du bateau. Les sallisures sur la coque effectivement restreignent les manoeuvres. Petit avis est donné, je crois que tu as beaucoup de réponses , bonne manoeuvre. Salut -- Ce message a été posté via la plateforme Web club-Internet.fr This message has been posted by the Web platform club-Internet.fr http://forums.club-internet.fr/ |
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6 - De Bol le mercredi 16 octobre 2002 à 10:37 | |||||
Salut > Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) > sur l'hélice suffit à faire perdre de la puissance au moteur ? Je ne suis pas spécialiste mais certainement oui, ça a été souvent évoqué ici, et selon mon expérience dès que ma bipale est sale je perds beaucoup. [réflexion toute fraiche] Il y a des manoeuvres que l'on fait sans trop réfléchir, et puis un jour il y a un détail qui fait tilt. Avant hier je suis aller me balader, je quitte le cat-way comme d'habitude marche arrière lente, barre droite puis à fond pour aller vers babord. Sauf que cette fois pour je ne sais quelle raison, je mets au point mort avant de tirer la barre - sensation étrange, je vire beaucoup plus vite que d'habitude. Pour voir si ce n'est pas le fait du hasard, j'embraye AR et reprendre le rayon de giration habituel - beaucoup plus grand. Je n'en ferai pas une conclusion hative et définitive, mais c'est une expérience à refaire, peut-être suffit-il pour contrer le pas d'hélice, non pas d'aller plus vite, mais simplement de mettre au point mort au moment de virer (il faut bien sur avoir un peu d'erre) A+ Bol http://frbateaux.net/ |
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7 - De Alain Fosse le mercredi 16 octobre 2002 à 11:19 | |||||
dans l'article de News, Christian L à c_goat@club-internet.fr a écrit le 16/10/02 2:44 : > Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre les > plus > grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de > port. Bonjour, Il est évident, qu'au départ, un voilier est plutôt fait pour aller en marche avant plutôt que dans l'autre sens et je suis toujours stupéfait de voir certains plaisanciers (les Italiens sont champions pour cela) se présenter presque à l'entrée de la marina en marche arrière, se retourner face à la poupe (la popa) et manoeuvrer leur "volant" comme celui d'un camion pour se garer (je ne trouve pas d'autre mot), quatre pontons plus loin, cul à quai. C'est une constante, la plupart des voiliers sont bordiers, il faut bien faire avec. La première des choses, c'est de manoeuvrer avec assez de vitesse pour que le safran réagisse et puisse lutter contre la pertubation que crée l'hélice. Une solution, mais cela dépend des bateaux, peut consister à donner suffisamment de gaz en arrière puis à remettre l'inverseur au point mort pour que le safran puisse agir sans être trop perturbé (le cas échéant, cela évite aussi d'aller se fourrer l'hélice dans les s... qui flottent parfois entre deux eaux. Evidemment, cette solution n'est valable que par temps calme, sans trop de courant, juste pour se dégager d'un ponton. Et dans ce cas de figure, on peut toujours s'aider d'un bout judicieusement placé et passé en double. Avec certains bateaux, le mien, par exemple, on obtient de bons résultats en faisant un p'tit coup de marche avant, un p'tit coup de marche arrière, un p'tit coup de marche avant... Avec cette méthode, j'arrive à tourner presque sur place, comme si j'avais un propulseur d'étrave. En fait, chaque unité est un cas d'espèce et ce n'est qu'en s'entraînant, dans un mouillage désert (ça existe encore, ça?), sur un sur un plan d'eau ou dans un avant-port que l'on trouve la "manière". Autre point important, la propreté de l'hélice. Il est certain qu'une hélice sale perd de son rendement. A ce jour je n'ai pas encore trouvé l'anti-fouling spécial hélice qui "tienne" correctement (si quelqu'un en connaît un..) J'aime mieux "plonger" trois à quatre fois dans la saison pour aller la gratouiller et qu'elle reste toujours à peu-près propre (attention à ne pas ce cogner la tête sur la voute du bateau en revenant à la surface à la recherche de la goulée d'oxygène salvatrice). Voilà, je pense que les spécialistes vont nous parler des filets d'eau, d'hydrodynamisme et nous donner de savantes explications, qui seront d'ailleurs les bienvenues, mais il me semble qu'il ne s'agit pas là d'un problème spécifique à l'Atalia; à moins que celui-ce ne soit particulièrement bordier, mais plutôt d'un problème de prise en main et, surtout, de propreté de l'hélice. Cordialement. Alain Fosse Rêvez avec les images de news://news.zoo-logique.org/images.bateaux-nautisme |
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10 - De Robert Curbet le vendredi 18 octobre 2002 à 23:42 | |||||
Salut Alain, salut à tous Ah! les problèmes de marche arrière! Moi aussi j'ai connu pendant longtemps. Mais depuis cette année, maintenant tout est résolu: ma Chryseis a un moteur Sail Drive et là, plus de problème. (ou presque). L'hélice étant plus proche du centre du bateau, la force engendrée par le couple de rotation est beaucoup moins forte, et du coup le bateau recule en ligne droite. Par contre, on n'a plus la possibilité du "coup de fouet", puisque l'hélice est loin du safran. On perd donc en "rayon de braquage " en marche avant. On perd aussi la possibilité de casser rapidement l'ère en rapprochant le cul du quai, pour prendre une petite place entre deux bateaux le long d'un quai. Par contre, pour les arrivées en méditerranée, qui se font quasiment toujours cul au quai, c'est l'idéal. "Alain Fosse" <alainfosse@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news: B9D2FBBB.BAEC%alainfosse@wanadoo.fr... > dans l'article de News, Christian L à c_goat@club-internet.fr a écrit le > 16/10/02 2:44 : > > Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre les > > plus > > grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de > > port. > > Bonjour, > > Il est évident, qu'au départ, un voilier est plutôt fait pour aller en > marche avant plutôt que dans l'autre sens et je suis toujours stupéfait de > voir certains plaisanciers (les Italiens sont champions pour cela) se > présenter presque à l'entrée de la marina en marche arrière, se retourner > face à la poupe (la popa) et manoeuvrer leur "volant" comme celui d'un > camion pour se garer (je ne trouve pas d'autre mot), quatre pontons plus > loin, cul à quai. > > C'est une constante, la plupart des voiliers sont bordiers, il faut bien > faire avec. La première des choses, c'est de manoeuvrer avec assez de > vitesse pour que le safran réagisse et puisse lutter contre la pertubation > que crée l'hélice. Une solution, mais cela dépend des bateaux, peut > consister à donner suffisamment de gaz en arrière puis à remettre > l'inverseur au point mort pour que le safran puisse agir sans être trop > perturbé (le cas échéant, cela évite aussi d'aller se fourrer l'hélice dans > les s... qui flottent parfois entre deux eaux. Evidemment, cette solution > n'est valable que par temps calme, sans trop de courant, juste pour se > dégager d'un ponton. Et dans ce cas de figure, on peut toujours s'aider d'un > bout judicieusement placé et passé en double. > > Avec certains bateaux, le mien, par exemple, on obtient de bons résultats en > faisant un p'tit coup de marche avant, un p'tit coup de marche arrière, un > p'tit coup de marche avant... Avec cette méthode, j'arrive à tourner presque > sur place, comme si j'avais un propulseur d'étrave. En fait, chaque unité > est un cas d'espèce et ce n'est qu'en s'entraînant, dans un mouillage désert > (ça existe encore, ça?), sur un sur un plan d'eau ou dans un avant-port que > l'on trouve la "manière". > > Autre point important, la propreté de l'hélice. Il est certain qu'une hélice > sale perd de son rendement. A ce jour je n'ai pas encore trouvé > l'anti-fouling spécial hélice qui "tienne" correctement (si quelqu'un en > connaît un..) J'aime mieux "plonger" trois à quatre fois dans la saison pour > aller la gratouiller et qu'elle reste toujours à peu-près propre (attention > à ne pas ce cogner la tête sur la voute du bateau en revenant à la surface à > la recherche de la goulée d'oxygène salvatrice). > > Voilà, je pense que les spécialistes vont nous parler des filets d'eau, > d'hydrodynamisme et nous donner de savantes explications, qui seront > d'ailleurs les bienvenues, mais il me semble qu'il ne s'agit pas là d'un > problème spécifique à l'Atalia; à moins que celui-ce ne soit > particulièrement bordier, mais plutôt d'un problème de prise en main et, > surtout, de propreté de l'hélice. > > Cordialement. > Alain Fosse > Rêvez avec les images de news://news.zoo-logique.org/images.bateaux-nautisme > > > > > |
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11 - De Alain Fosse le samedi 19 octobre 2002 à 11:24 | |||||
dans l'article de News, Robert Curbet à rcurbet@wanadoo.fr a écrit le 18/10/02 23:42 : > Par contre, pour les arrivées en méditerranée, qui se font quasiment > toujours cul au quai, c'est l'idéal. Bonjour Robert, Bonjour à tous Bien rentré ? Au retour, je suis repassé par Fréjus et en ai profité pour aller dire un petit bonjour à Chryseis. Rassure-toi, tout va bien ! je ne comprends pas cette manie méditerranéenne de se mettre cul à quai. 1) La manoeuvre est plus aléatoire, surtout en équipage réduit et il me semble infiniment plus facile de repartir en marche arrière que d'y arriver. 2) Dans mon cas, avec mon annexe suspendue à ses bossoirs (elle y est parfaitement calée et, même en cas de fort coup de vent, ne bouge pas d'un iota), cela complique encore la chose. 3) Avec nos bateaux modernes, et dans certains ports mal pavés -comme Estartit, n'est-ce pas Nominoë ?- we risk énormément. Bonjour le tableau arrière, voire le safran. 4) Il n'y a pas besoin de trimballer de passerelle, une simple échelle de coupée que l'on accroche à l'avant et l'on peut -et dans tous les cas- facilement monter à bord, quelle que soit la hauteur ou la "basseur" (1) du quai. 5) Enfin - et surtout- on n'est pas dans le même sens que les voisins de palier, donc peinard dans son cockpit et on n'a pas l'impression d'être au zoo de Vincennes (ce qui est appréciable pour moi, qui habite quasiment en face toute l'année) puisque les toutous qui passent et rapaces sur les quais et les pontons ne plongent pas directement dans votre salle à manger, voire votre chambre à coucher. Objection, Votre Honneur : en vous amarrant nez à quai, vous vous retrouvez de travers puisque la pendille est frappée sur un des taquets arrière, loin de l'axe du bateau. Que nenni, mon Prince ! La pendille se termine bien souvent par un chaîne. En descendant surla jupe arrière il est tout à fait facile d'y passer un bout et de l'amarrer sur les deux taquets. Si ce n'est pas le cas, il suffit de frapper un bout sur la pendille (trois au quatre demi-clés à capeler et ça tient) pour faire une sorte de patte d'oie et le bateau tire parfaitement dans l'axe, ne gène personne et le maître de port n'a plus rien à dire. Je ne me mets cul à quai qu'à Gruissan, et encore pour l'hiver, à cause des forts et redoutables coups de sud ou, bien évidemment, lorsqu'il faut, en l'absence de bouée ou de pendille, mouiller à l'avant. Of course, pour décaniller de son poste, il est vivement conseillé d'attendre que la pendille ait parfaitement coulé, sinon il n'y a plus d'hélice, hélas, comme le disait Bourvil, dans "La grande vadrouille", car le précieux instrument se trouve aux premières loges. Voilà, je n'aurais sans doute pas dû faire ce plaidoyer pro domo pour "l'amarrage nez à quai" car si tout le monde se met à en faire autant, fini la tranquillité (toute relative) au port. ----- (1) Il ne faut pas craindre, de temps en temps,quelques hardis néologismes. De toutes façons, la langue française en a déjà tellement vu... ------ Cordialement. Alain Fosse N'oubliez pas les FAQs du forum : http://frbateaux.net |
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12 - De "Nominoë,_de_Nantes" le dimanche 20 octobre 2002 à 16:52 | |||||
Hello Alain Fosse wrote: > 3) Avec nos bateaux modernes, et dans certains ports mal pavés -comme > Estartit, n'est-ce pas Nominoë ?- we risk énormément. Bonjour le tableau > arrière, voire le safran. et le gars "mais si allez y il y a de l'eau et hop à 4m du bord le safran touche. "allez y, reculez encore" "non il n'y a pas assez d'eau" "mais je vous dis que si" "non!" ah, têtu le gars du port et aveugle par la même occasion. Par contre pour le cul à quai, à Barcelone une équipière m'a réclamé qu'on se mette cul à quai car elle trouvait trop difficile de débarquer par la proue. résultat je me suis mis cul à quai et ele la fortement regretté car à cause de la jupe on était encore plus loin du quai ;-) mais là elle n'a plus osé râler. PS : je précise directement avant der me faire traiter de macho ou mysogine : ça aurait très bien pu être un équipier et non une équipîère qui râle, ça m'est aussi arrivé :-)) Nominoë, bien crevé de sa nav' de ce we. -- http://www.relais-voile.net |
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13 - De jcvh le lundi 21 octobre 2002 à 10:29 | |||||
Hello ! Faut pas avoir peur de te faire traiter de macho, elles ont voulu l'égalité elles doivent assumer ! Ouvrir la portière de la voiture, avancer la chaise au resto, le payer, bref fini les petits privilèges que les affreux machos leurs prodiguaient En plus tu ne dois pas t'occuper de ce quelles disent, mieux vaut attendre quelles changent d'avis ce qui ne saurait tarder ! (voir l'amis Sacha) Pour le cul à quai, par principe jamais ! Sauf circonstances exceptionnelles, j'y suis pour l'instant ;-))) pour six mois au moins snifff (grooosse boulot sur le batô), mais il y a des ducs d'albe à l'avant et pas de curieux a l'arrière (juste quelques bavards sympas)! J-C (le macho de service) Les gens intelligents sont ceux qui changent d'avis avant les autres. André Frossard Serait-ce votre excuse mesdames ? :-)) "Nominoë, de Nantes" <ynpiriou.pasdespam@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news: 3db2c2c1$0$6102$626a54ce@news.free.fr... > Hello > > Alain Fosse wrote: > > 3) Avec nos bateaux modernes, et dans certains ports mal pavés -comme > > Estartit, n'est-ce pas Nominoë ?- we risk énormément. Bonjour le tableau > > arrière, voire le safran. > > et le gars "mais si allez y il y a de l'eau et hop à 4m du bord le > safran touche. "allez y, reculez encore" "non il n'y a pas assez d'eau" > "mais je vous dis que si" "non!" ah, têtu le gars du port et aveugle par > la même occasion. > > Par contre pour le cul à quai, à Barcelone une équipière m'a réclamé > qu'on se mette cul à quai car elle trouvait trop difficile de débarquer > par la proue. résultat je me suis mis cul à quai et ele la fortement > regretté car à cause de la jupe on était encore plus loin du quai ;-) > mais là elle n'a plus osé râler. PS : je précise directement avant der > me faire traiter de macho ou mysogine : ça aurait très bien pu être un > équipier et non une équipîère qui râle, ça m'est aussi arrivé :-)) > > > Nominoë, bien crevé de sa nav' de ce we. > > -- > http://www.relais-voile.net > |
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16 - De Denis ROUX le mercredi 16 octobre 2002 à 16:11 | |||||
Christian L wrote: :: Bonsoir à tous :: :: Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je :: rencontre les plus grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au :: moteur pour quitter la place de port. :: Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV). :: L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a :: remplacé l'hélice bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant :: un couple plus important, j'ai toujours les mêmes difficultés. :: En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il :: est possible de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se :: passe comme si le moteur perdait de sa puissance et au bout de 3 :: mois, reculer devient impossible. Les bateaux voisins, baignant dans :: les mêmes eaux donc avec une "propreté" de carène et d'hélice :: évoluant de façon comparable avec le temps, continuent eux de :: manoeuvrer normalement. Le mécanicien qui entretient le moteur n'a :: rien décelé d'anormal sur le moteur(nombre de tours à vide, en :: charge, en avant en arrière). Est ce que la carène (forme) de :: l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre en marche arrière et que :: l'apparition de salissures rend plus apparente encore cette anomalie :: ? Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur :: l'hélice suffit à faire perdre de la puissance au moteur ? :: Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ? :: :: Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement :: lebateau à tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut :: manoeuvrer ! :: :: Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce :: problème et l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à :: proposer, je suis preneur. :: :: D'avance merci :: -- :: Ce message a été posté via la plateforme Web club-Internet.fr :: This message has been posted by the Web platform club-Internet.fr :: :: http://forums.club-internet.fr/ bonjour :) il y a qq années, j'avais décidé d'investir dans une hélice repliable. j'ai donc contacté mon revendeur lui demandant de m'en trouver une adaptable sur le yanmar 2GM de mon sun light 30. Après soi disant des calculs savants, on me livre une hélice que je m'empresse d'installer. résultat : 4.5 noeuds en régime normal au lieu de 6.3 avec l'hélice fixe, et des marches arrière quasiment impossibles. Le revendeur me l'a alors échangée contre une autre marque et plus de problèmes. On est alors en droit de se demander si le logiciel de calculs de france hélices est réellement performant. Ah oui, j'oubliais, cette meme hélice a été vendue à un ami qui a un jouet 920, et il en est ravi ! comme quoi, une hélice mal adaptée peut avoir des performances catastrophiques. voilà, @++ |
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17 - De Jacques MAILLOT le mercredi 16 octobre 2002 à 18:43 | |||||
Bonsoir J'ai aussi changé l'hélice bipale, contre une tripale sur mon Moody. Ayant le même problème , je mets le moteur en arrière maxi quelques secondes, puis au point mort. J'ai ainsi suffisamment d'erre pour contrer le pas de l'hélice. Cordialement. "Christian L" <c_goat@club-internet.fr> a écrit dans le message de news: 20021016-14422-59456@foorum.com... > > Bonsoir à tous > > Propriétaire d'un voilier de marque JEANNEAU type ATTALIA, je rencontre les plus > grandes difficultés à manoeuvrer en arrière au moteur pour quitter la place de > port. > Le moteur est un YANMAR 2GM (18 CV). > L'hélice est une tripales (calculée par France Hélice), elle a remplacé l'hélice > bipales d'origine. Malgré ce changement, offrant un couple plus important, j'ai > toujours les mêmes difficultés. > En début de saison lorsque la carène et l'hélice sont propres, il est possible > de manoeuvrer en arrière, mais avec le temps, tout se passe comme si le moteur > perdait de sa puissance et au bout de 3 mois, reculer devient impossible. > Les bateaux voisins, baignant dans les mêmes eaux donc avec une "propreté" de > carène et d'hélice évoluant de façon comparable avec le temps, continuent eux de > manoeuvrer normalement. > Le mécanicien qui entretient le moteur n'a rien décelé d'anormal sur le > moteur(nombre de tours à vide, en charge, en avant en arrière). > Est ce que la carène (forme) de l'ATTALIA est mal adaptée à la manoeuvre en > marche arrière et que l'apparition de salissures rend plus apparente encore > cette anomalie ? > Est ce que le dépôt de quelques coquillages (coniques) sur l'hélice suffit à > faire perdre de la puissance au moteur ? > Est ce qu'il n'y a pas un problème moteur ? > > Pour corser le tableau le pas de l'hélice, porte naturellement lebateau à > tribord et... bien sûr c'est babord arrière qu'il me faut manoeuvrer ! > > Si des propriétaires d'ATTALIA ou d'autres voiliers ont rencontré ce problème et > l'ont résolu, ou si quelque expert a un remède à proposer, je suis preneur. > > D'avance merci > -- > Ce message a été posté via la plateforme Web club-Internet.fr > This message has been posted by the Web platform club-Internet.fr > > http://forums.club-internet.fr/ |
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