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Spi : tangon et écoutes    
21 messages du 30/06/2001 au 03/07/2001    

 1 - De Paul Friedel le samedi 30 juin 2001 à 14:45 
 
Je vous ai raconté en réponse à un message d'Eric que j'ai déchiré mon
spi... et je voudrais votre avis.

J'ai toujours fait des noeuds en 8 au bout de mes écoutes y compris celles
de spi. Or lors de ma dernière sortie, mon ami Joël a préparé le spi pour le
renvoyer au sortir des tas de Pois et a insisté pour laisser les extrémités
libres. Au moment de l'envoyer, nous nous sommes un peu pris les pieds dans
le tapis et j'ai mis un peu trop de temps pour passer de la plage avant aux
écoutes pendant que Joël finissait l'envoi à la drisse et que Didier barrait
consciencieusement.

Là le résultat ne s'est pas fait attendre, l'écoute est sortie de la poulie
et est allée se promener loin là-bas sous le vent, d'autant que nous étions
sous une amure assez proche du largue. Plutôt que de faire revenir le bateau
au vent arrière ce qui aurait pu recentrer le spi et rapprocher l'écoute,
j'ai bêtement cherché à suivre la bordure jusqu'à reprendre l'écoute. C'est
là qu'avec le vent qu'il y a avit, mon spi n'a pas supporté ce traitement et
s'est déchiré en un rien de temps sur deux mètres le long de cette bordure.

Bon cette deuxième bêtise mise à part, ma question est la suivante : vous
mettez des noeuds aux écoutes de spi ou pas?

Je sais, je sais la réponse sera du style : moi je casse mon oeuf par le
gros bout et moi par le petit. Vous avez peut-être des arguments ou des
expériences plus parlantes pour un spi que pour en oeuf.

Merci,

PF
 
 2 - De Nominoe Piriou le samedi 30 juin 2001 à 13:56 
 
> Bon cette deuxième bêtise mise à part, ma question est la suivante : vous
> mettez des noeuds aux écoutes de spi ou pas?
ça dépend du bateau, de l'équipage, du temps etc...
En rêgle générale, jamais de noeud au bout des écoutes de spi, car en cas de
très gros départ au tas on risque de se faire avoir. En Class8 il est
relativement facile de faire un départ au tas. L'an dernier on a fait un
magnifique départ à l'abbaté, obligé de tout choquer (en fait le gars à
l'écoute était scotché sur son écoute, incapable de choquer quoi que ce soit
et si on avait fait des noeuds au bout des écoutes on se serait retrouvé
dans l'impossibilité  de larguer le bras et de redresser le bateau (enfin
pendant quelques instants, mais en régate on recherche quand même à éviter
que  le numéro 1 ne reste trop longtemps debout sur le pied de mat :-)))

C'est donc pour une question de sécurité qu'on ne fait pas de noeuds de huit
au bout des écoutes de spi. Par contre il m'arrive d'en faire sur mon First
32 sous spi asy quand je suis tout seul à bord ou à deux et que le vent
n'est pas bien fort et que je suis flêmard. Mais bon là j'ai pas intérêt à
ce que le vent ne monte trop.

A mon avis il vaut mieux tourner les écoutes autour d'un taquet le temps de
l'envoi, en laissant une marge de deux mêtres sur l'écoute par rapport au
rêglage prévu pour l'allure à laquelle on va, avec le bras prébordé : dans
ce cas là on reste pénard dans le cockpit, on hisse son spi qui ne gonfle
pas trop et il suffit ensuite de récupérer le mou dans l'écoute. génial en
équipage réduit ou en solo.

Nominoë
 
 3 - De patrick LECAL le dimanche 01 juillet 2001 à 00:40 
 
Je suis tout a fait de votre avis
A+
"Nominoe Piriou" <Nominoe.Piriou@Wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
08j%6.6605$de2.4165758@nnrp5.proxad.net...
> > Bon cette deuxième bêtise mise à part, ma question est la suivante :
vous
> > mettez des noeuds aux écoutes de spi ou pas?
> ça dépend du bateau, de l'équipage, du temps etc...
> En rêgle générale, jamais de noeud au bout des écoutes de spi, car en
cas de
> très gros départ au tas on risque de se faire avoir. En Class8 il est
> relativement facile de faire un départ au tas. L'an dernier on a fait un
> magnifique départ à l'abbaté, obligé de tout choquer (en fait le gars à
> l'écoute était scotché sur son écoute, incapable de choquer quoi que ce
soit
> et si on avait fait des noeuds au bout des écoutes on se serait retrouvé
> dans l'impossibilité  de larguer le bras et de redresser le bateau
(enfin
> pendant quelques instants, mais en régate on recherche quand même à
éviter
> que  le numéro 1 ne reste trop longtemps debout sur le pied de mat :-)))
>
> C'est donc pour une question de sécurité qu'on ne fait pas de noeuds de
huit
> au bout des écoutes de spi. Par contre il m'arrive d'en faire sur mon
First
> 32 sous spi asy quand je suis tout seul à bord ou à deux et que le vent
> n'est pas bien fort et que je suis flêmard. Mais bon là j'ai pas intérêt
à
> ce que le vent ne monte trop.
>
> A mon avis il vaut mieux tourner les écoutes autour d'un taquet le temps
de
> l'envoi, en laissant une marge de deux mêtres sur l'écoute par rapport
au
> rêglage prévu pour l'allure à laquelle on va, avec le bras prébordé :
dans
> ce cas là on reste pénard dans le cockpit, on hisse son spi qui ne
gonfle
> pas trop et il suffit ensuite de récupérer le mou dans l'écoute. génial
en
> équipage réduit ou en solo.
>
> Nominoë
>
>
 
 4 - De lapache le samedi 30 juin 2001 à 20:31 
 
En école de croisière on apprend " Jamais de noeud en huit au bout des bras
et des écoutes ! "

Et puis quand on a laissé filer un ou deux bras à l'eau et que le mousqueton
s'est ouvert et qu'on a perdu le-dit bras on se dit : " dans le fond le bras
et les écoutes sont suffisamment longs pour qu'on puisse sans risque les
choquer en grand même avec un noeud en huit à l'extrémité . Ca évite de les
perdre !


Paul Friedel <paul.friedel@wanadoo.fr> a écrit dans le message :
9hke97$4o$1@wanadoo.fr...
> Je vous ai raconté en réponse à un message d'Eric que j'ai déchiré mon
> spi... et je voudrais votre avis.
>
> J'ai toujours fait des noeuds en 8 au bout de mes écoutes y compris celles
> de spi. Or lors de ma dernière sortie, mon ami Joël a préparé le spi pour
le
> renvoyer au sortir des tas de Pois et a insisté pour laisser les
extrémités
> libres. Au moment de l'envoyer, nous nous sommes un peu pris les pieds
dans
> le tapis et j'ai mis un peu trop de temps pour passer de la plage avant
aux
> écoutes pendant que Joël finissait l'envoi à la drisse et que Didier
barrait
> consciencieusement.
>
> Là le résultat ne s'est pas fait attendre, l'écoute est sortie de la
poulie
> et est allée se promener loin là-bas sous le vent, d'autant que nous
étions
> sous une amure assez proche du largue. Plutôt que de faire revenir le
bateau
> au vent arrière ce qui aurait pu recentrer le spi et rapprocher l'écoute,
> j'ai bêtement cherché à suivre la bordure jusqu'à reprendre l'écoute.
C'est
> là qu'avec le vent qu'il y a avit, mon spi n'a pas supporté ce traitement
et
> s'est déchiré en un rien de temps sur deux mètres le long de cette
bordure.
>
> Bon cette deuxième bêtise mise à part, ma question est la suivante : vous
> mettez des noeuds aux écoutes de spi ou pas?
>
> Je sais, je sais la réponse sera du style : moi je casse mon oeuf par le
> gros bout et moi par le petit. Vous avez peut-être des arguments ou des
> expériences plus parlantes pour un spi que pour en oeuf.
>
> Merci,
>
> PF
>
>
 
 5 - De Fanch Dupuis le samedi 30 juin 2001 à 21:11 
 
> Et puis quand on a laissé filer un ou deux bras à l'eau et que le
mousqueton
> s'est ouvert et qu'on a perdu le-dit bras on se dit : " dans le fond le
bras
> et les écoutes sont suffisamment longs pour qu'on puisse sans risque les
> choquer en grand même avec un noeud en huit à l'extrémité . Ca évite de
les
> perdre !
 C'est aussi mon avis (il vaut mieux acheter .  m d'ecoute en plus que de
perdre un bras et son mousqueton...) . En cas de Distribil on peut aussi
larguer en grand la drisse, comme pour un affalage à l'australienne.
 
 6 - De Nominoe Piriou le samedi 30 juin 2001 à 21:31 
 
>  C'est aussi mon avis (il vaut mieux acheter .  m d'ecoute en plus que de
> perdre un bras et son mousqueton...) . En cas de Distribil on peut aussi
> larguer en grand la drisse, comme pour un affalage à l'australienne.
>
jusqu'au jour où on se retrouve avec une drisse trop courte :-)) (déjà vu et
vécu). Mais bon si on connait le bateau, c'est bien pratique cette
technique, et puis parfois même pas besoin de larguer en grand mais un ou
deux mètres peuvent parfois suffire à calmer le jeu.

Nominoë
 
 7 - De Philippe Lefebvre le dimanche 01 juillet 2001 à 00:59 
 
Les noeuds, ben oui, faut les faire.
Et faut même passer le bras et l'écoute (elle,bien débordée) au winch et
taquets avant d'envoyer. Surtout au largue venté, où un noeud en butée sur
la poulie de bras ne serait pas d'un grand secours pour ramener le spi.

Les noeuds en bouts d'écoutes c'est surtout pour qu'elles ne s'échappent de
leur filoirs après l'affalage et pour permettre de les récupérer facilement
si elles traînent dans l'eau.
L'idéal, c'est une petite marque (surliure) sur les écoutes et la drisse
pour visualiser à l'envoi leurs positions définitives au largue et au vent
arrière.

A deux, je pratique de la façon suivante :
- Spi stocké dans le balcon, sac fermé (le plus facile) :
Le barreur tiens sa route. Avant de monter sur le pont, l'équipier règle en
mollissant la balancine et le hale-bas de tangon au niveau de leurs marques
pour pouvoir amurer le tangon ni trop haut, ni trop bas. (<>1.30m).
Il brasse le bras de spi , jusqu'à le tendre sans extraire le point d'amure
du sac, l'entoure au winch, le frappe au taquet et donne l'extrémité de la
drisse au barreur. Cette dernière aussi au winch si le spi dépasse les 25m².
Idem, pour l'écoute qu'on laisse à proximité du barreur, sous le vent.
Si l'équipier n'a pas le pied marin et que la mer est houleuse, il borde le
foc à plein, pour s'en servir de trampoline et pour faciliter l'envoie
ultérieur dans un cône de dévent entre GV et Foc.
Il règle encore le barber à "sa marque du temps" sous le vent et souque le
hale-bas de GV.
Il peut enfin aller à l'avant pour installer le tangon. Il commence par
décrocher du pont le point d'amure et passe le bras dedans, mâchoire vers le
haut. Il décroche ensuite l'autre bout du tangon, le passe sous la
contre-écoute de foc et  revient le dos au mat, bien calé, face à l'avant.
Il fait glisser le tangon sur son épaule, vers l'arrière, jusqu'a pouvoir
frapper sa balancine et son hale-bas.
Il fait glisser le tout dans l'autre sens, en maintenant sur l'épaule pour
que le point d'amure vienne se poser contre l'étai et au dessus du balcon.
Il n'y a plus qu'a fixer le tangon dans sa cloche en évitant d'y laisser une
oreille.
Avant son retour au vent, il ouvre largement le sac à spi et lève le pouce.
Le barreur abat à  120° apparent, en ouvrant sa GV à masquer les haubans
sous le vent, et embraque la drisse à la volée.
L'équipier, déjà de retour, règle et frappe le bras, donne un coup de main
pour finir de hisser et bloquer la drisse (laisser 20 à 30cm avant butée),
prérègle la hauteur de tangon, choque le foc, se fait donner l'écoute par le
barreur et s'installe au rappel, près à border à la demande et pas trop loin
du hale-bas de GV qui sert de "fusible", à larguer en cas de départ au lof.
Le barreur monte aussi au rappel, brasse sa GV et teste le lof en serrant
les fesses et en frimant beaucoup. L'équipier lui, transpire.
C'est nettement plus long à dire qu'a faire, 30 sec. dans les bons jours.
Ouf, j'espère n'avoir rien oublié...
Les autres techniques plus musclées, une autre fois ou à d'autres de les
décrire.
Bons surfs !
Philippe

>
>
 
 8 - De Robert Curbet le dimanche 01 juillet 2001 à 11:49 
 
Je ne suis pas d'accord avec Philippe sur quatre points
- Jamais, jamais,  de noeuds sur les bras
- le barreur barre et c'est tout
- les machoires en bas et pas en haut
- en cas de départ au lof, il faut choquer la GV et l'écoute de spi et pas
le hale bas
Justifications dans le texte.
Je soupçonne une explication pour nos divergences, on ne doit pas avoir le
même type de bateau. Moi c'est un Feeling 1090, 11 m, 7 tonnes, Surface de
spi: beaucoup, beaucoup plus de 25 m2

Robert

"Philippe Lefebvre" <cambuse2@wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
9hlhui$hje$1@wanadoo.fr...
> Les noeuds, ben oui, faut les faire.

Pas d'accord, jamais de noeuds sur les bras de spi:
exemple (vécu): départ (violent) au lof, bateau couché, mât et spi dans
l'eau, il faut tout laisser filer pour faire redresser le bateau, un noeud
sur l'écoute, et la poulie de spi est sous l'eau: tu fais quoi? 3 solutions:
- tu as ton couteau et tu coupes le bras;
- tu largues la drisse complétement (tu la remettras dans le mât plus tard)
,
- tu plonges ???
(j'avais pas de couteau sur moi, j'ai laissé filer la drisse)

> Et faut même passer le bras et l'écoute (elle,bien débordée) au winch et
> taquets avant d'envoyer. Surtout au largue venté, où un noeud en butée sur
> la poulie de bras ne serait pas d'un grand secours pour ramener le spi.
>
D'accord: à l'envoi, en solo ou à deux, je mets le bras et l'écoute au
taquet, mais avec beaucoup de mou

> Les noeuds en bouts d'écoutes c'est surtout pour qu'elles ne s'échappent
de
> leur filoirs après l'affalage et pour permettre de les récupérer
facilement
> si elles traînent dans l'eau.

surtout pas , si ton spi chalute, il faut pouvoir lacher un des bras pour
éviter que le spi passe sous la coque et se prenne dans la quille

> L'idéal, c'est une petite marque (surliure) sur les écoutes et la drisse
> pour visualiser à l'envoi leurs positions définitives au largue et au vent
> arrière.
Ok
>
> A deux, je pratique de la façon suivante :
> - Spi stocké dans le balcon, sac fermé (le plus facile) :
> Le barreur tiens sa route. Avant de monter sur le pont, l'équipier règle
en
> mollissant la balancine et le hale-bas de tangon au niveau de leurs
marques
> pour pouvoir amurer le tangon ni trop haut, ni trop bas. (<>1.30m).
> Il brasse le bras de spi , jusqu'à le tendre sans extraire le point
d'amure
> du sac, l'entoure au winch, le frappe au taquet et donne l'extrémité de la
> drisse au barreur. Cette dernière aussi au winch si le spi dépasse les
25m².
> Idem, pour l'écoute qu'on laisse à proximité du barreur, sous le vent.
> Si l'équipier n'a pas le pied marin et que la mer est houleuse, il borde
le
> foc à plein, pour s'en servir de trampoline et pour faciliter l'envoie
> ultérieur dans un cône de dévent entre GV et Foc.
> Il règle encore le barber à "sa marque du temps" sous le vent et souque le
> hale-bas de GV.
> Il peut enfin aller à l'avant pour installer le tangon.

Est-ce qu'il n'y est pas déjà allé pour amurer les bras au spi?

> Il commence par décrocher du pont le point d'amure et passe le bras
dedans, > mâchoire vers le
> haut.

Moi je mets la machoire vers le bas: vers le  haut le risque est grand que
le bras ouvre seul la machoire. Pour l'empannage c'est aussi plus facile (en
tout cas pour moi)

>Il décroche ensuite l'autre bout du tangon, le passe sous la
> contre-écoute de foc et  revient le dos au mat, bien calé, face à l'avant.
> Il fait glisser le tangon sur son épaule, vers l'arrière, jusqu'a pouvoir
> frapper sa balancine et son hale-bas.
> Il fait glisser le tout dans l'autre sens, en maintenant sur l'épaule pour
> que le point d'amure vienne se poser contre l'étai et au dessus du balcon.
> Il n'y a plus qu'a fixer le tangon dans sa cloche en évitant d'y laisser
une
> oreille.
> Avant son retour au vent, il ouvre largement le sac à spi et lève le
pouce.
> Le barreur abat à  120° apparent, en ouvrant sa GV à masquer les haubans
> sous le vent, et embraque la drisse à la volée.

C'est un barreur hyper costaud avec 3 bras: un pour barrer, deux pour
embraquer. j'ai cru comprendre qu'il s'occupait aussi de l'écoute
A mon bord, c'est l'équipier qui hisse le spi à la volée depuis le pied de
mat, le barreur peut à la rigueur reprendre le mou.

> L'équipier, déjà de retour, règle et frappe le bras, donne un coup de main
> pour finir de hisser et bloquer la drisse (laisser 20 à 30cm avant butée),
> prérègle la hauteur de tangon, choque le foc, se fait donner l'écoute par
le
> barreur et s'installe au rappel, près à border à la demande et pas trop
loin
> du hale-bas de GV qui sert de "fusible", à larguer en cas de départ au
lof.

C'est l'écoute de GV qu'il faut larguer en cas  de lof: le hale bas sert à
tirer sur la bome pour aplatir le GV. Sous spi il faut aussi larguer de
l'écoute de spi.

> Le barreur monte aussi au rappel, brasse sa GV et teste le lof en serrant
> les fesses et en frimant beaucoup. L'équipier lui, transpire.
> C'est nettement plus long à dire qu'a faire, 30 sec. dans les bons jours.
> Ouf, j'espère n'avoir rien oublié...
> Les autres techniques plus musclées, une autre fois ou à d'autres de les
> décrire.
> Bons surfs !
> Philippe
>
> >
> >
>
>
 
 9 - De Nominoe Piriou le dimanche 01 juillet 2001 à 16:39 
 
> - les machoires en bas et pas en haut
c'est amusant, une discussion a été lancée il y a qqs jours sur
uk.rec.sailing sur le même sujet. Par contre je suis comme la majorité de
ceux qui sont intevrenu, machoires toujours vers le haut  : lors de
l'empannage le spi a tendance a monter tout seul et là on se retrouve avec
un tangon qui monte, on ne peut pas dégager le bras et surtout si le tangon
est trop haut on se retrouve incapable de décrocher le tangon du mat.

Les machoires vers le haut ne peuvent être qu'un avantage : comme dit
précédemment,  le spi a tendance à monter tout seul donc lors de l'empannage
le n°1 ouvre la machoire d'un coup et peut larguer le tangon du mat
directement dans la suite du mouvement. Pour racrocher le nouveau bras il
suffit d'avoir le barber repris comme il se doit et le bras est à portée de
main.
L'empannage n'en est que plus rapide et on n'a aucun risque de se retrouver
avec un tangon en hauteur bloqué.

Nominoë

PS : il est vrai que si on utilise la technique du tangon balancier (le
tangon reste accroché au mat, on a deux écoutes, deux bras, on baisse
simplement le tangon pour le faire passer) dans ce cas là il suffit de
brasser le second bras qui n'est pas passé dans le tangon et là on supprime
la tension sur le bras et en ouvrant les machoires vers le bas, l'ancien
bras tombe comme si de rien n'était et il suffit de passer le tangon de
l'autre côté et on raccroche le nouveau bras qui n'est pas encore sous
tension.
 
 10 - De Hubert, de Cherbourg le dimanche 01 juillet 2001 à 16:51 
 
bonsoir

sur mon dernier bateau, j'avais été amené à changer une ferrure de tangon et
j'avais monté la nouvelle de telle façon que lorsque l'ouverture de la
machoire est vers le haut coté mat, elle est vers le bas à l'autre bout du
tangon.

Hubert, de cherbourg


"Nominoe Piriou" <Nominoe.Piriou@Wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
%CG%6.3742$%U2.4821064@nnrp1.proxad.net...
> > - les machoires en bas et pas en haut
> c'est amusant, une discussion a été lancée il y a qqs jours sur
> uk.rec.sailing sur le même sujet. Par contre je suis comme la majorité de
> ceux qui sont intevrenu, machoires toujours vers le haut  : lors de
> l'empannage le spi a tendance a monter tout seul et là on se retrouve avec
> un tangon qui monte, on ne peut pas dégager le bras et surtout si le
tangon
> est trop haut on se retrouve incapable de décrocher le tangon du mat.
>
> Les machoires vers le haut ne peuvent être qu'un avantage : comme dit
> précédemment,  le spi a tendance à monter tout seul donc lors de
l'empannage
> le n°1 ouvre la machoire d'un coup et peut larguer le tangon du mat
> directement dans la suite du mouvement. Pour racrocher le nouveau bras il
> suffit d'avoir le barber repris comme il se doit et le bras est à portée
de
> main.
> L'empannage n'en est que plus rapide et on n'a aucun risque de se
retrouver
> avec un tangon en hauteur bloqué.
>
> Nominoë
>
> PS : il est vrai que si on utilise la technique du tangon balancier (le
> tangon reste accroché au mat, on a deux écoutes, deux bras, on baisse
> simplement le tangon pour le faire passer) dans ce cas là il suffit de
> brasser le second bras qui n'est pas passé dans le tangon et là on
supprime
> la tension sur le bras et en ouvrant les machoires vers le bas, l'ancien
> bras tombe comme si de rien n'était et il suffit de passer le tangon de
> l'autre côté et on raccroche le nouveau bras qui n'est pas encore sous
> tension.
>
>
 
 11 - De Sylvain le dimanche 01 juillet 2001 à 20:21 
 
Ca doit pas faciliter les empannages ca !!!!!

Hubert, de Cherbourg wrote:

> bonsoir
>
> sur mon dernier bateau, j'avais été amené à changer une ferrure de tangon et
> j'avais monté la nouvelle de telle façon que lorsque l'ouverture de la
> machoire est vers le haut coté mat, elle est vers le bas à l'autre bout du
> tangon.
>
> Hubert, de cherbourg
>
>
> "Nominoe Piriou" <Nominoe.Piriou@Wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
> %CG%6.3742$%U2.4821064@nnrp1.proxad.net...
>
>>> - les machoires en bas et pas en haut
>>
>> c'est amusant, une discussion a été lancée il y a qqs jours sur
>> uk.rec.sailing sur le même sujet. Par contre je suis comme la majorité de
>> ceux qui sont intevrenu, machoires toujours vers le haut  : lors de
>> l'empannage le spi a tendance a monter tout seul et là on se retrouve avec
>> un tangon qui monte, on ne peut pas dégager le bras et surtout si le
>
> tangon
>
>> est trop haut on se retrouve incapable de décrocher le tangon du mat.
>>
>> Les machoires vers le haut ne peuvent être qu'un avantage : comme dit
>> précédemment,  le spi a tendance à monter tout seul donc lors de
>
> l'empannage
>
>> le n°1 ouvre la machoire d'un coup et peut larguer le tangon du mat
>> directement dans la suite du mouvement. Pour racrocher le nouveau bras il
>> suffit d'avoir le barber repris comme il se doit et le bras est à portée
>
> de
>
>> main.
>> L'empannage n'en est que plus rapide et on n'a aucun risque de se
>
> retrouver
>
>> avec un tangon en hauteur bloqué.
>>
>> Nominoë
>>
>> PS : il est vrai que si on utilise la technique du tangon balancier (le
>> tangon reste accroché au mat, on a deux écoutes, deux bras, on baisse
>> simplement le tangon pour le faire passer) dans ce cas là il suffit de
>> brasser le second bras qui n'est pas passé dans le tangon et là on
>
> supprime
>
>> la tension sur le bras et en ouvrant les machoires vers le bas, l'ancien
>> bras tombe comme si de rien n'était et il suffit de passer le tangon de
>> l'autre côté et on raccroche le nouveau bras qui n'est pas encore sous
>> tension.
>>
>>
 
 12 - De Hubert, de Cherbourg le dimanche 01 juillet 2001 à 21:18 
 
bonsoir

> Ca doit pas faciliter les empannages ca !!!!!

certes ! mais dans l'autre sens je cassais les pistons de l'embout ....
et ne faisant pas de régate, on n'empannait pas souvent !!!

A la fin j'avais d'ailleur mis un mousqueton à anneau dans la machoire et on
ouvrait ce mousqueton pour empanner (le piston s'étant encore tordu il
coulissait mal)

mais il s'agit ici de spi en croisière, on prend son temps ....

Hubert, de Cherbourg
 
 13 - De Robert Curbet le dimanche 01 juillet 2001 à 17:57 
 
Je ne comprends comment le tangon peut monter.
Une précision, je parle d'un tangon non symétrique, qui reste accroché au
mât.
Le halebas de tangon reste bordé
Le barreur vient au vent arrière. Je relâche de l'écoute.
Le spi se vide et se dégonfle. (donc plus de tension)
Je sort le bras de la machoire du tangon.
Je choque la balancine et je fais passer le tangon de l'autre bord
Je croche la machoire du tangon dans l'écoute, qui devient le nouveau bras
(si j'ai quelqu'un au piano, il aide en hissant le tangon par la balancine)
Le barreur prend son cap et on règle pour le nouveau cap
Avec des baberhauler, c'est encore plus facile: on borde à fond le barber
coté bras

"Nominoe Piriou" <Nominoe.Piriou@Wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
%CG%6.3742$%U2.4821064@nnrp1.proxad.net...
> > - les machoires en bas et pas en haut
> c'est amusant, une discussion a été lancée il y a qqs jours sur
> uk.rec.sailing sur le même sujet. Par contre je suis comme la majorité de
> ceux qui sont intevrenu, machoires toujours vers le haut  : lors de
> l'empannage le spi a tendance a monter tout seul et là on se retrouve avec
> un tangon qui monte, on ne peut pas dégager le bras et surtout si le
tangon
> est trop haut on se retrouve incapable de décrocher le tangon du mat.
>
> Les machoires vers le haut ne peuvent être qu'un avantage : comme dit
> précédemment,  le spi a tendance à monter tout seul donc lors de
l'empannage
> le n°1 ouvre la machoire d'un coup et peut larguer le tangon du mat
> directement dans la suite du mouvement. Pour racrocher le nouveau bras il
> suffit d'avoir le barber repris comme il se doit et le bras est à portée
de
> main.
> L'empannage n'en est que plus rapide et on n'a aucun risque de se
retrouver
> avec un tangon en hauteur bloqué.
>
> Nominoë
>
> PS : il est vrai que si on utilise la technique du tangon balancier (le
> tangon reste accroché au mat, on a deux écoutes, deux bras, on baisse
> simplement le tangon pour le faire passer) dans ce cas là il suffit de
> brasser le second bras qui n'est pas passé dans le tangon et là on
supprime
> la tension sur le bras et en ouvrant les machoires vers le bas, l'ancien
> bras tombe comme si de rien n'était et il suffit de passer le tangon de
> l'autre côté et on raccroche le nouveau bras qui n'est pas encore sous
> tension.
>
>
 
 14 - De Nominoe Piriou le dimanche 01 juillet 2001 à 18:35 
 
> Le barreur vient au vent arrière. Je relâche de l'écoute.
> Le spi se vide et se dégonfle. (donc plus de tension)
c'est bien là le pb, en cas de fort vent, à moins de laisser le spi en
drapeau, au risque de l'abimer en le faisant claquer, on garde de la tension
dans l'écoute et la bras et la manoeuvre devient impossible. et de plus en
dégonflant le spi on risque de se retouver avec le spi autour de l'étai et
on perd toute force propulsive, et de plus par vent fort on ne peut alors
pas profiter de l'effet d'un surf pour empanner tranquillement.

Nominoë
 
 15 - De Sylvain le dimanche 01 juillet 2001 à 20:24 
 
Il me semblait plus pratique d'avoir 2 bras et 2 ecoutes dans le cas
d'un tangon non symetrique (empannage par l'avant).

Au moment de l'empannage, le numero 2 est au pied de mat et libere grace
au petit bout qui va bien le bras de la machoire, pendant que le numero
1 est dans le balcon avant avec le futur bras (qui n'est pas l'ancienne
ecoute, c'est ca l'astuce !!! il n'est pas en tension).

Le piano tescend de la balancine, le numero 2 oriente le tangon et le
fait pivoter, et quand il passe dans l'axe du bateau le numero 1 met le
nouveau bras dans la machoire). Bien mene, le spi n'a pas eu le temps de
se degonfler, et le tangon est revenu a poste sur la nouvelle amure en
quelques secondes....

A oui, y'a un inconvenient : faut du monde......

Nominoe Piriou wrote:

>> Le barreur vient au vent arrière. Je relâche de l'écoute.
>> Le spi se vide et se dégonfle. (donc plus de tension)
>
> c'est bien là le pb, en cas de fort vent, à moins de laisser le spi en
> drapeau, au risque de l'abimer en le faisant claquer, on garde de la tension
> dans l'écoute et la bras et la manoeuvre devient impossible. et de plus en
> dégonflant le spi on risque de se retouver avec le spi autour de l'étai et
> on perd toute force propulsive, et de plus par vent fort on ne peut alors
> pas profiter de l'effet d'un surf pour empanner tranquillement.
>
> Nominoë
 
 16 - De Nominoe Piriou le dimanche 01 juillet 2001 à 21:59 
 
> A oui, y'a un inconvenient : faut du monde......
c'est bien vrai ça, mais qu'est ce que ça fait plaisir quand l'empannage est
bien fait et que le spi est resté tout bien gonflé tout beau et qu'on
reprend une longueur à d'autres :-)

Mais bien sûr en croisière ... parfois on préfère empanner qqs coups de
moins, de manière moins "jolie" mais bien plus pépère. Quoi que à partir
d'une certaine taille la plupart des bateaux ont de toute façon double
écoute double bras (même le mumm 30 d'ailleurs!)

Nominoë
 
 17 - De Sylvain le dimanche 01 juillet 2001 à 20:15 
 
>
> Moi je mets la machoire vers le bas: vers le  haut le risque est grand que
> le bras ouvre seul la machoire. Pour l'empannage c'est aussi plus facile (en
> tout cas pour moi)
>
Je fais toujours tres attention a trouver des embouts de tangon dont le
piston rentre dans une partie femelle au bout de la machoire. Comme ca,
ca ouvre pas tout seul !!
 
 18 - De yag le lundi 02 juillet 2001 à 11:04 
 
Bonjour,
Je trouve aussi que les machoires vers le bas sont plus pratiques surtout en
solo.
Je met par contre des barbeurs pour tirer vers le bas et refermer un soupçon
(à la taille de mon tangon) l'ouverture mais sans dégonfler le spi (et en
ayant bordé un peu de GV si le vent est faible).
Le bateau étant sous pilote (avec ces pilotes qui ne savent pas bien tenir
leur cap...) le spi se déplace mais je suis le mouvement, je décroche le
tangon du mât au moment où il n'est plus sous tension. Je le raccroche sur
l'écoute. Puis je décroche le bras (qui deviens écoute) pour le mettre au
mât. Le tout en suivant bien le mouvement. La figure est parfois
accrobatique par vent calme et mer formée: Vaut mieux savoir prendre une
autre solution. Mais par vent fort établis ou par mer calme c'est ce que
j'ai trouvé de mieux avec les grands spi (60m2).
@+
yag.

"Sylvain" <sylvain-c@usa.net> a écrit dans le message news:
3B3F68B5.6080004@usa.net...

>
> Moi je mets la machoire vers le bas: vers le  haut le risque est grand que
> le bras ouvre seul la machoire. Pour l'empannage c'est aussi plus facile
(en
> tout cas pour moi)
>
Je fais toujours tres attention a trouver des embouts de tangon dont le
piston rentre dans une partie femelle au bout de la machoire. Comme ca,
ca ouvre pas tout seul !!
 
 19 - De Robert Curbet le lundi 02 juillet 2001 à 23:17 
 
Ouf, merci yag
Je me sentais un peu seul avec mes machoires vers le bas

"yag" <yves.guitNOSPAM@wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
9hq8gn$ite$3@wanadoo.fr...
> Bonjour,
> Je trouve aussi que les machoires vers le bas sont plus pratiques surtout
en
> solo.
> Je met par contre des barbeurs pour tirer vers le bas et refermer un
soupçon
> (à la taille de mon tangon) l'ouverture mais sans dégonfler le spi (et en
> ayant bordé un peu de GV si le vent est faible).
> Le bateau étant sous pilote (avec ces pilotes qui ne savent pas bien tenir
> leur cap...) le spi se déplace mais je suis le mouvement, je décroche le
> tangon du mât au moment où il n'est plus sous tension. Je le raccroche sur
> l'écoute. Puis je décroche le bras (qui deviens écoute) pour le mettre au
> mât. Le tout en suivant bien le mouvement. La figure est parfois
> accrobatique par vent calme et mer formée: Vaut mieux savoir prendre une
> autre solution. Mais par vent fort établis ou par mer calme c'est ce que
> j'ai trouvé de mieux avec les grands spi (60m2).
> @+
> yag.
>
> "Sylvain" <sylvain-c@usa.net> a écrit dans le message news:
> 3B3F68B5.6080004@usa.net...
>
> >
> > Moi je mets la machoire vers le bas: vers le  haut le risque est grand
que
> > le bras ouvre seul la machoire. Pour l'empannage c'est aussi plus facile
> (en
> > tout cas pour moi)
> >
> Je fais toujours tres attention a trouver des embouts de tangon dont le
> piston rentre dans une partie femelle au bout de la machoire. Comme ca,
> ca ouvre pas tout seul !!
>
>
>
 
 20 - De xavier g. le mardi 03 juillet 2001 à 09:54 
 
> Je me sentais un peu seul avec mes machoires vers le bas
>
>
T'inquiette pas, tu n'es pas le seul, j'en fait autant parce que sinon, mon
tangon a tendance a se coinser sur le rail et ça bousille tous quand je
change
de cap.
 
 21 - De Gilles MORELLE le lundi 02 juillet 2001 à 09:45 
 
En fait c'est solon la taille du bateau.
Sur un petit bateau (<15m ) il est utile de faire des noueds au bout des
écoutes, car il est toujours possibles de récupérer une catastrophe en
récupérant le bout de boyt après le noeud ...
Au dessus de 15 m vaux mieux pas. En effet c'est aussi une question de
sécurité. On ne fait pas de noueds ni au niveau des écoutes, ni au niveau de
la drisse. Comme cela si gros problème on lache tout et on perd le spi, ce
qui coute le spi certe, mais ce qui permet de sauver des vies humaines et du
matériel ....
C'est une des régles de sécurité sur gros bateau.

Salutations véliques.

Gilles MORELLE
webmaster : www.chez.com/navarin


"Paul Friedel" <paul.friedel@wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
9hke97$4o$1@wanadoo.fr...
> Je vous ai raconté en réponse à un message d'Eric que j'ai déchiré mon
> spi... et je voudrais votre avis.
>
> J'ai toujours fait des noeuds en 8 au bout de mes écoutes y compris celles
> de spi. Or lors de ma dernière sortie, mon ami Joël a préparé le spi pour
le
> renvoyer au sortir des tas de Pois et a insisté pour laisser les
extrémités
> libres. Au moment de l'envoyer, nous nous sommes un peu pris les pieds
dans
> le tapis et j'ai mis un peu trop de temps pour passer de la plage avant
aux
> écoutes pendant que Joël finissait l'envoi à la drisse et que Didier
barrait
> consciencieusement.
>
> Là le résultat ne s'est pas fait attendre, l'écoute est sortie de la
poulie
> et est allée se promener loin là-bas sous le vent, d'autant que nous
étions
> sous une amure assez proche du largue. Plutôt que de faire revenir le
bateau
> au vent arrière ce qui aurait pu recentrer le spi et rapprocher l'écoute,
> j'ai bêtement cherché à suivre la bordure jusqu'à reprendre l'écoute.
C'est
> là qu'avec le vent qu'il y a avit, mon spi n'a pas supporté ce traitement
et
> s'est déchiré en un rien de temps sur deux mètres le long de cette
bordure.
>
> Bon cette deuxième bêtise mise à part, ma question est la suivante : vous
> mettez des noeuds aux écoutes de spi ou pas?
>
> Je sais, je sais la réponse sera du style : moi je casse mon oeuf par le
> gros bout et moi par le petit. Vous avez peut-être des arguments ou des
> expériences plus parlantes pour un spi que pour en oeuf.
>
> Merci,
>
> PF
>
>
 

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